Van Snick : l’échantillon B également positif

Publié le 30 November 2013

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L’analyse de l’échantillon B de Charline Van Snick a confirmé que la judoka belge était positive à la cocaïne lors des derniers Mondiaux à Rio de Janeiro.

Contrôlée positive à la cocaïne début octobre – un taux infime de 276 nanogrammes de cocaïne par millilitre avait été découvert dans ses urines – après un test effectué lors des Mondiaux de Rio, Charline Van Snick a appris que la contre-expertise s’est également révélée positif.

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Charline Van Snick compte bien se battre… © Belga

Annoncé par le site de La Dernière Heure ce samedi, ce résultat devrait coûter la médaille de bronze obtenue par la judoka liégeoise lors de ces mêmes Mondiaux.

Décidée à se battre, Charline Van Snick, 23 ans, nie toujours avoir consommé de la cocaïne. Pour prouver son innocence, la médaillée de bronze des JO de Londres avait même subi une analyse toxicologique qui s’était révélée négative.

Désormais, l’athlète belge et son avocat comptent bien plaider leur cause devant les instances internationales afin de réduire au maximum la durée de sa probable suspension. Pour rappel, Charline Van Snick risque jusqu’à deux ans de suspension.

Me Flagothier : “Face à l’IJF le 14 décembre”

“Nous avons bien eu la notification officielle”, a confié Maître Flagothier. “L’échantillon B se révèle être positif aussi. Nous n’avons pas les précisions sur les doses, mais il n’y a pas raison qu’elles ne correspondent pas à l’analyse de l’échantillon A à partir du moment où la contre-expertise est positive aussi.”

“Selon les règlements de l’Agence mondiale antidopage (AMA), il y a donc un cas de dopage et la sanction de base est de deux ans, poursuit l’avocat. Nous allons présenter notre défense à l’IJF le 14 décembre à Budapest devant la commission de la fédération internationale pour tenter de réduire cette sanction.”

© A.M. (Avec Belga)

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